Cette série limitée à 500 exemplaires de haute horlogerie sportive s’impose comme une métaphore du caractère rigoureux du mythique triple champion du monde de Formule 1 brésilien.

« Ayrton Senna nous a tous marqués chez TAG Heuer et a marqué le monde du sport automobile, tant sur la piste que dans la vie. Avec le lancement de la TAG Heuer Carrera Chronograph Tourbillon x Senna, nous célébrons son esprit durable et inspirons les futures générations de champions, tout comme il nous a inspirés. Ce garde-temps incarne la passion et la précision qui ont défini son parcours remarquable“, a déclaré Antoine Pin, CEO de la marque, à l’occasion de la présentation de cette édition.

Depuis 1988, le mythique ambassadeur de l’horloger joue un rôle prépondérant au sein des collections avec des références portant haut ses couleurs de prédilection. Ce chronographe équipé d’un tourbillon 1 minute associe aussi des traits de caractère principaux de la personnalité de la légende de la F1: l’exigence et la précision. Ainsi, le calibre TH20-09 (65 heures de réserve de marche) orchestre les données temporelles avec rigueur. Ce mouvement à remontage automatique mesure les temps courts au ¼ de seconde et intègre un boîtier de 44mm de diamètre usiné en titane grade 2 coiffé d’une lunette fixe en carbone forgé ornée d’une échelle tachymétrique. Le cadran ajouré arbore des finitions noires brossées et grainées qui accentuent la scénographie en relief. Les couleurs du drapeau brésilien viennent dynamiser ce décor monochrome en habillant les compteurs logés à 3h et 9h, ainsi que la graduation des 60 secondes positionnée sur le pourtour. Au dos, une représentation de Senna loue la mémoire du champion.

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Cadran panda ou panda inversé? L’horloger genevois déploie sa créativité pour jongler avec les teintes de nacre naturelle et ainsi créer de nouveaux jeux d’ombre et de lumière sur un binôme de montres gansées de diamants.

Initialement taillée pour la course automobile, confortablement calée sur le poignet des pilotes, lors de son lancement en 1963, la montre Oyster Perpetual Cosmograph Daytona a appris à se réinventer au fil du temps. En effet, ce modèle emblématique des collections de Rolex affiche désormais un style plus sophistiqué comme le confirment les deux modèles présentés cette année. L’échelle tachymétrique placée sur la lunette est remplacée par un ruban de 36 brillants, l’acier s’efface au profit de l’or gris et le cadran jongle avec la nacre naturelle pour créer des jeux d’ombre et de lumière.

A la manière d’une image en couleur qui serait passée en négatif, le visage irisé de ce duo redéfinit avec élégance les dénominations “panda“ et “panda inversé“: les trois compteurs (petite seconde à 6h, totaliseurs 30 minutes et 12 heures du chronographe respectivement à 3 et 6h) sont en nacre noire sur fond blanc ou, au contraire, en nacre blanche sur un disque sombre. Afin d’exploiter chaque reflet, le tour d’heures accueille huit index en diamants et trois appliques Chromalight qui diffusent une lueur bleutée dans l’obscurité, balayé par les aiguilles des heures et minutes courantes et la grande trotteuse centrales. Le boîtier de 40mm de diamètre et 11.90mm d’épaisseur est muni d’un fond, d’une couronne Triplock et de poussoirs vissés afin de garantir une étanchéité jusqu’à 100m de profondeur. Il abrite le calibre 4131, un mouvement automatique performant dévoilé en 2023 qui fournit une importante réserve d’énergie de 3 jours une fois pleinement remonté.

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Avec cette édition limitée à seulement 80 exemplaires, la marque indépendante présente la dernière variation esthétique de sa performante montre de plongée lancée en 2011.

122 mètres. Un marcheur parcourt la distance en 1’30’’. Les légendes du sprint en environ 11 secondes. Un avion de ligne parvient à cette altitude en moins de deux secondes. Pour Arnaud Jerald, atteindre cette profondeur a nécessité une plongée sans oxygène d’une durée de 3 minutes et 35 secondes. Pour l’accompagner tout au long de cet exploit réalisé aux Bahamas, l’apnéiste a pu compter sur sa RM 032 qui lui garantit de conserver ses repères temporels en toute sécurité sous le niveau de la mer, grâce notamment à la présence d’un indicateur de marche revêtu de Super-LumiNova^® logé à 3h. La nouvelle RM 032 Automatique Chronographe flyback Ultimate Edition bénéficie toujours de cet atout. Entre autres!

Son boîtier rond de 50mm de diamètre et de 17.80mm d’épaisseur conserve son étanchéité éprouvée jusqu’à 300 mètres de profondeur. Cette robustesse assure une protection à toute épreuve de son calibre RMAC2 (50 heures de réserve de marche). Ce précis mouvement à remontage automatique équipé d’un rotor à géométrie variable orchestre les aiguilles des heures et des minutes parées d’un blanc luminescent, la date surdimensionnée à 12h et la mesure des temps courts avec une fonction retour en vol d’une redoutable efficacité. Comme pour toute montre de plongée et afin de garantir une lisibilité optimale, des couleurs spécifiques ornent les données. L’indispensable graduation présente sur la lunette rotative unidirectionnelle arbore deux teintes distinctes, tout comme la minuterie et l’échelle tachymétrique positionnées sur le rehaut. Fonctionnalité et design dialoguent pour offrir le meilleur en toute circonstance.

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Pivot de la collection Privé qui regroupe des créations à la silhouette atypique, la montre de forme de la maison parisienne imaginée en 1912 sort de sa réserve hibernale pour imposer sa patte stylistique dans le paysage horloger.

L’horlogerie signée Cartier est avant tout une histoire de formes, des formes souvent vues comme singulières dans un monde peuplé de montres rondes. Au sein de sa collection Privé qui regroupe des créations à la silhouette atypique, inspirées parfois d’anciens modèles et produites en très petites séries, la Tortue Chronographe Monopoussoir fait son grand retour. En effet, longuement plébiscitée notamment par les collectionneurs, la pièce dont les contours évoquent le plastron protecteur que porte le reptile tétrapode sur le ventre, imaginée dès 1912 par Louis Cartier, sort de sa réserve hibernale cette année.

La première version de cette montre date de 1928, la suivante… de 1998! Autant dire que les apparitions de l’animal sont rares! En 2024, ce sont ainsi deux déclinaisons que présentent Cartier, en platine ou en or blanc, chacune limitée à seulement 200 exemplaires. Ponctué d’une couronne-poussoir sertie d’un saphir ou rubis en cabochon, son boîtier galbé (43.7×34.8×10.2mm) a été légèrement redessiné, ses cornes allongées, son profil affiné. Il renferme le calibre 1928 MC, un nouveau mouvement à remontage manuel spécialement développé pour lui, qui présente une hauteur de 4.3mm, vibre à la fréquence standard de 4h et fournit une réserve d’énergie de 44 heures. Grainé et légèrement doré ou opalin argenté, accueillant des chiffres romains laqués de noir ou en appliques rhodiées, le cadran cintré d’un chemin de fer est marqué par deux compteurs azurés, la petite seconde à 9h et, à 3h, le totaliseur des minutes alimenté par la trotteuse centrale. Son contrepoids évidé fait écho à la pomme évidée des aiguilles bleuies de type Breguet des heures et minutes.

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A l’occasion de son 270^ème anniversaire et près de trois ans après le succès rencontré par sa version en or jaune la manufacture réédite ce symbole créatif des années 1970 cette fois dans un corps d’acier.

De 1755 à 2025, ce sont plus de deux siècles et demi de créativité mécanique que fête Vacheron Constantin. 270 ans, très exactement, dont les célébrations qui diapreront tout au long de ces douze prochains mois débutent dès aujourd’hui avec la présentation de la montre Historiques 222, la collection qui redonne vie à des pièces emblématiques du passé. A l’origine, le modèle est imaginé en 1977 par Jorg Hysek pour les 222 ans de la manufacture genevoise, d’où son nom. Il est ensuite proposé en 2022 dans une version en or jaune, avec un nouveau calibre et quelques retouches esthétiques, qui connaît un immense succès. Cette année, une nouvelle réédition, cette fois en acier, vient exalter l’engouement.

Fidèle à son allure initiale, le boîtier de 37mm de diamètre et 7.95mm d’épaisseur cintré  d’une lunette crantée abrite une croix de Malte en or jaune enchâssé à 5h. Il fusionne parfaitement avec le bracelet à maillons hexagonaux pour une ergonomie et une fluidité accrues une fois la montre installée sur le poignet.

Le fond orné d’un hublot en verre saphir dévoile une masse oscillante en or jaune portant la mention “222“. Celle-ci transmet l’énergie fournie par les gestes du bras pour alimenter le calibre 2455/2, un mouvement automatique 4Hz qui délivre 40 heures de réserve de marche et anime les différentes indications. Habillé de bleu marine, le cadran accueille des index et deux aiguilles centrales de type bâton en or gris, le tout souligné de Super-LumiNova® à émission verte. Un quantième complète ces informations temporelles, installé dans une fenêtre à 3h.

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La magie du design réussi de cette montre emblématique opère encore avec ce nouveau coloris de cadran aux multiples bienfaits: ultralisibilité et élégance sont au rendez-vous.

En 2023, IWC dévoilait un atout maître pour ses collections avec une réédition contemporaine de l’un de ses modèles phares nés dans les années 1970 sous le trait inspiré de l’incontournable designer Gerald Genta. De la pièce originale, l’Ingenieur SL Reference 1832, l’Ingenieur Automatic 40 en reprend l’esprit. Ainsi, on retrouve un boîtier usiné en acier doté de contours et de finitions revisités, mais toujours coiffé d’une lunette tenue par 5 vis. L’écrin se distingue de même par sa finesse avec une épaisseur contenue de 10.8mm et par la présence d’un protège-couronne. Une alternance de surfaces satinées et polies, appliquée également sur les maillons du bracelet intégré équipé d’un fermoir inédit, rehausse la personnalité sport chic du garde-temps.

Côté cadran, celui-ci conserve le motif à damier original. Après les itérations noires, argentées ou aqua, précédemment présentées, la collection s’étoffe en cette fin d’année d’une élégante variation habillée d’un bleu intense. Dessus, la lisibilité des informations tutoie l’excellence. Les aiguilles des heures et des minutes revêtues de Super-LumiNova^®, la trotteuse, et la date logée à 3h demeurent propulsées par le calibre 32111 assemblé à l’aide de 165 composants. Ce mouvement à remontage automatique est protégé par une boîte en interne en fer doux, lequel le rend insensible aux champs magnétiques. Robuste, cette mécanique délivre des performances superlatives en munissant notamment la montre d’une impressionnante réserve de marche d’au moins cinq jours. L’autonomie reste une condition à l’efficacité.

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Avec cette série limitée, la manufacture démontre une nouvelle fois son savoir-faire dans la maîtrise des matériaux avec une boîte finalisée à partir d’équipements recyclés.

Membre de la famille Hublot depuis 2021, Novak Djokovic possède l’un des plus beaux parcours sur le circuit avec à ce jour 24 titres du Grand Chelem au compteur. Sa combativité et son talent font du tennisman un adversaire toujours redouté. Avec la montre Big Bang Unico Djokovic, Hublot intègre un peu du joueur hors norme dans cette série limitée. Léger et robuste, le boîtier de 42mm de diamètre étanche jusqu’à 100 mètres de profondeur et la lunette sont en effet confectionnés au moyen d’un composite bleu mat à base de résine époxy obtenu par le recyclage de 32 polos et de 25 raquettes de Nole.

Sur le cadran ajouré, on retrouve les indispensables aiguilles des heures et des minutes rehaussées de Super-LumiNova^®, ainsi que les compteurs utiles pour la mesure des temps courts. Toutes les données sont animées par un calibre à remontage automatique assemblé au moyen de 354 composants. Ce mouvement offre 72 heures de réserve de marche à ce chronographe. Cette version se distingue par le poids de son mécanisme, réduit de 27% par rapport à l’original grâce à l’usage raisonné de l’aluminium. Pour un confort optimal dans toutes les conditions, la montre s’accompagne de quatre bracelets aisément interchangeables grâce au système One Click. Avec le premier, élastique, elle ne pèse que 49.5 grammes, 54 g avec une alternative en tissu fermé par un Velcro®, 65 g pour l’option dite de tennis signée Lacoste, 75 g pour le dernier confectionné en caoutchouc blanc terminé par une boucle déployante en titane.

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L’art de vivre inhérent à l’état de l’Ouest américain, les teintes chaudes des couchés du soleil et un ciel azur inspirent les Friends pour cette série limitée à seulement 18 exemplaires.

Quels que soient ses atours, la montre LM Perpetual EVO ne laisse décidément pas indifférent. Sa nouvelle variation esthétique dotée d’un boîtier de 44mm de diamètre usiné en or rose 18 carats, toujours étanche jusqu’à 80 mètres, souligne sa capacité d’adaptation. Cette pièce de haute horlogerie pensée par MB&F pour accompagner son propriétaire dans son quotidien sans risque de fragiliser le calibre atteint donc son objectif. La LM Perpetual EVO Silicon Valley prouve que résistance peut bien rimer avec élégance.

Comme pour l’ensemble des précédents modèles de cette collection, afin de protéger le mécanisme à remontage manuel conçu par le talentueux horloger Stephen McDonnell, un système “FlexRing“ réalisé à partir d’un seul bloc d’acier, absorbe les chocs sur plusieurs axes. Le mécanisme assemblé à l’aide de 581 composants délivre ainsi avec régularité l’énergie de sa réserve de marche de 72 heures. De quoi s’adonner à ses activités préférées avec style. Aussi, cette itération produite en série limitée conserve toutes les caractéristiques de l’édition originale. Sous son dôme en saphir, directement soudé à la carrure, évoluent sur leur cadran décentré à 12h les aiguilles des heures et des minutes. Sur des disques ajourés respectivement positionnés à 9h, 3h et 6h, se lisent avec clarté la date, le jour et le mois. En point d’orgue, le grand balancier et sa roue de 14mm de diamètre anime de ses mouvements de va-et-vient cette mise en scène étagée rehaussée d’un bleu forcément estival.

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Premier opus d’une série de cinq pièces uniques, ce modèle associe les métiers d’art à la plus mélodieuse des complications. Plus qu’une montre, un objet d’art!

Donner l’heure dans l’obscurité. Si aujourd’hui, l’omniprésence de la lumière rend l’exercice facile, par le passé, déclencher une sonnerie à la demande fut le seul moyen de conserver ses repères temporels. Depuis, la complication mélodieuse intègre des montres d’exception à l’instar de la nouvelle création signée Parmigiani. L’Armoriale Répétition Mystérieuse est une pièce unique à plus d’un titre.

Oubliez ainsi les conventions! Ni cadran ni aiguilles ne sont présents au sein du boîtier de 42mm de diamètre usiné en or blanc et orné des colonnes doriques chères à Michel Parmigiani. Le visage de l’Armoriale Répétition Mystérieuse prend vie grâce aux talents des métiers d’art. Un délicat guilloché entrelace des spirales d’une pomme de pin. La composition graphique géométrique obtenue cercle une fine gravure centrale. L’ensemble est rehaussé par un émaillage translucide grand feu vert pastel.

Au dos de l’écrin évoluent sur un disque de jade du Guatemala paré d’index ronds deux lettres majuscules, un M et H, indiquent les heures et les minutes. La présence au sein du mouvement à remontage manuel de gongs de type cathédrale permet néanmoins de garder secret cet affichage. La répétition minutes s’enclenche à la demande grâce au poussoir intégré à la carrure et sonne alors les heures, les quarts et les minutes. Afin d’apprécier ces mélodies, ce chef-d’œuvre peut être positionné sur un résonateur en bois d’épicéa qui amplifie ainsi chaque note jouée durant les 72 heures de réserve de marche délivrée par le calibre. La haute horlogerie dialogue avec la haute-fidélité.

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Alors que les épreuves de la Coupe du monde s’enchaînent, la marque présente pour un autre rendez-vous majeur dans l’agenda du ski alpin un chronographe en édition limitée.

Dès 1924, Longines investit les pistes de ski pour chronométrer les descentes des sportifs. Cette expertise lui permet de devenir en 2006 Partenaire officiel et de Chronométreur officiel de la Fédération internationale de Ski (FIS). C’est donc en toute logique que la marque au sablier ailé accompagne toutes les épreuves de la saison 2024 – 2025 telles que les 48^èmes Championnats du monde FIS de ski alpin qui seront organisés du 4 au 16 février prochain dans la prestigieuse station de Saalbach en Autriche. En préambule de ce rendez-vous majeur, une Conquest Chrono Ski Edition vient d’être dévoilée.

Fidèle à sa production, la lisibilité des informations excelle dans toutes les conditions. Au sein d’un cadran habillé d’un anthracite satiné vertical, les compteurs et la petite seconde logée à 3h ornés d’un noir profond se distinguent idéalement par contraste. Les aiguilles des heures et des minutes, tout comme les index se parent de Super-LumiNova^® tandis que les éléments dédiés à la mesure des temps courts arborent une teinte rouge. Ces options dynamisent la scénographie. Afin d’accentuer la personnalité de ce modèle, une échelle tachymétrique embellit la lunette dotée d’un insert en céramique. Le boîtier usiné en acier de 42mm de diamètre, étanche jusqu’à 100m de profondeur, protège le mouvement à remontage automatique L898.5 (59 heures de réserve de marche). Il se porte au choix sur un bracelet en métal ou sur une alternative en caoutchouc. Une fois encore, performance et élégance ne font qu’un.

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Le joailler et horloger romain poursuit son exploration du domaine de la finesse extrême avec une pièce en titane aussi mince qu’une feuille de papier de soie et certifiée chronomètre, engrangeant ainsi un nouveau record pour son palmarès déjà très impressionnant.

De ce défi que s’est lancé Bvlgari il y a une décennie et qui représente désormais un cortège jalonné de records mondiaux, le plus spectaculaire est toujours à venir. A chaque nouveauté, il semble impossible de faire mieux, de faire plus mince, plus complexe, plus léger… et pourtant… la marque romaine, dont les ateliers horlogers sont installés en terres helvètes, poursuit avec succès son exploration du domaine de la finesse poussée à son paroxysme. La montre Octo Finissimo Ultra COSC signe une prouesse supplémentaire: être aussi mince qu’une feuille de papier de soie tout en portant une certification de chronomètre, gage de performance et de fiabilité.

Pour réaliser cet exploit, tout a été savamment étudié afin d’éliminer le superflu et trouver des stratagèmes pour conserver l’essentiel pour faire fonctionner le calibre ultra-plat BVL180 à remontage manuel de 1.50mm d’épaisseur développé en collaboration avec Concepto. Ainsi, la platine en carbure de tungstène fait office de fond et de cadran sur lequel sont enchâssés les principaux éléments mécaniques (échappement à 7h, barillet à 8h) et compteurs mono-aiguilles (heures à 2h, minutes à 4h, petite seconde à 5h30). L’ensemble dominé par le gris est traité avec différentes finitions pour sectoriser les informations temporelles et en faciliter la lecture tout en maintenant la fluidité monochrome qui fait le charme de la collection Octo Finissimo. Le mouvement, qui fournit une réserve de marche de 50 heures et a passé tous les tests imposés par le Contrôle officiel suisse des chronomètres (COSC), est encadré par un boîtier en titane sablé de 40mm de diamètre et 1.70mm de hauteur que complète un bracelet à maillons usinés dans le même métal.

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La manufacture a opté pour le platine, le “métal des rois“, afin d’habiller sa montre emblématique qui livre, outre le ballet d’un tourbillon, l’affichage des temps civil et solaire ainsi qu’un quantième perpétuel.

Fidèle à son esprit pionnier, Abraham-Louis Breguet (1747-1823) introduit le platine, alors inconnu en horlogerie, dans la fabrication de ses montres, dès 1780 pour la masse oscillante puis la boîte environ un quart de siècle plus tard. Le métal, loué tant pour sa lumineuse teinte grise que pour sa résistance à la corrosion et aux rayures, poursuit son aventure au sein des collections Breguet dont elle habille désormais l’emblématique Marine Equation Marchante 5887.

Cette pièce symbolise la puissance technique de la marque en conjuguant plusieurs complications qu’accompagne le ballet d’un tourbillon: l’équation marchante et le quantième perpétuel. La première permet d’afficher simultanément sur le cadran sombre, décoré d’un motif guilloché “vagues“, la différence entre temps civil (que l’on utilise au quotidien) et temps solaire (qui est irrégulier) au moyen deux aiguilles centrales, l’une à pomme évidée et l’autre terminée d’un anneau doré. La seconde agit comme un agenda mécanique pour dévoiler la date (aiguille à flèche en forme d’ancre), le jour, le mois et les années bissextiles (guichets à 10h30 et 1h30). Le régulateur complexe, quant à lui, danse librement dans une ouverture placée à 5h. Le calibre automatique 581 DPE, dont la masse périphérique est elle aussi en platine, donne vie à cet ensemble de fonctionnalités tout en fournissant une importante réserve d’énergie de 80 heures. Il loge au sein d’une boîte à la carrure délicatement cannelée qui mesure 43.9mm de diamètre et 11.8mm de finesse.

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Deux éditions limitées à la personnalité raffinée, certifiées par le Poinçon de Genève, mixent les savoir-faire de la manufacture aux talents des artisans des métiers d’art.

Les horlogers de Vacheron Constantin s’inspirent de la mythologie hellénique et notamment de Chronos, le père du Temps, pour finaliser une création fascinante. Ainsi, la montre Les Cabinotiers Le Temps Divin constitue une évocation du dieu grec. Orné de fines sculptures, son boîtier de 45mm de diamètre ciselé en or rose paré de frises sert de temple pour protéger un calibre d’exception, le 1990. Une variation usinée en or gris également gravée sur les flancs à la main offre une alternative aussi élégante.

Apparu au sein de la contemporaine Maître Cabinotier tourbillon armillaire rétrograde en 2016, le mouvement à remontage manuel orchestre les mêmes éléments dans une scénographie résolument plus traditionnelle. Durant les 60 heures de réserve de marche délivrée par ce complexe mécanisme assemblé au moyen de 299 composants, son organe réglant biaxial imbriqué dans deux cages en aluminium opère ses girations. Pour rappel, son spiral cylindrique est inspiré par le travail de Jacques-Frédéric Houriet qui le mit au point en 1814. Pendant cette même période, le duo d’aiguilles des heures et des minutes progresse le long d’une minuterie en demi-cercle agrémentée de chiffres romains. Une fois leur course respective achevée, chacune revient à son origine pour reprendre leur inexorable danse du temps. Le fond saphir permet par ailleurs de découvrir les ponts et la platine guillochés d’un motif géométrique. Ce décor harmonieux rappelle qu’une pièce de haute horlogerie s’apprécie sous tous les angles et dans le moindre détail.

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Avec cette série limitée exclusive de seulement 255 exemplaires se prolonge le partenariat entre les deux marques ancrées dans la légende de la compétition automobile.

3’373 kilomètres d’asphaltes, de pistes et de poussières. Dès sa première édition en 1950, la Carrera Panamericana rencontre un franc succès. Cent trente-deux concurrents prennent le départ de Mexico aux volants de bolides mis au point par les illustres constructeurs de l’époque. L’une d’entre elles emprunte ce nom évocateur pour sa production. Carrera devient alors chez Porsche synonyme de prestige. Jugée dangereuse, l’épreuve prend fin en 1954. En 1963, Heuer lance un chronographe dénommé également Carrera, en hommage à cette course mythique. Afin de renouer avec la légende, celle-ci s’élance de nouveau de la capitale mexicaine en 1988 dans une version sécurisée. Trente-six après, le design de la Carrera Chronograph Tourbillon x Porsche Panamericana signée TAG Heuer s’inspire des détails esthétiques de la Porsche 550 Spyder qui remporta la Pan-Am dans sa catégorie.

Le cadran évoque ainsi les jantes de la voiture, les teintes argentées sa carrosserie tandis que les aiguilles jaune laquées et les compteurs noirs adoptent ses couleurs. Dans cette scénographie résolument mécanique évolue un tourbillon logé à 6h. Symbole de haute horlogerie, l’organe réglant dialogue ici avec à-propos avec le style sportif de la montre rehaussée par la présence d’un bracelet en cuir de veau perforé. Le boîtier en acier de 42mm de diamètre orné d’un logo “Spyder“ accueille le calibre TH20-09. Précis, ce mouvement à remontage automatique se distingue aussi par son endurance. Sa réserve de marche de 65 heures offre l’opportunité de prendre la route sans perdre ses repères temporels.

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